impôt sur le revenu
Droit fiscal

Tout comprendre sur l’impôt sur le revenu

L’impôt sur le revenu est la source de nombreuses frustrations. Chaque année, c’est un grand nombre de travailleurs qui doit déclarer ses revenus sans pour autant comprendre tous les calculs interminables et les charges pour lesquels il paye. Pour vous dire la vérité, peu de personnes savent comment l’impôt sur le revenu fonctionne ou comment il se calcule. Nous avons donc décidé de faire la lumière sur le sujet. En lisant cet article, vous n’aurez plus à être stressé par une mauvaise compréhension du système.

Impôt sur le revenu : à quoi ça sert ?

Vous n’êtes pas seul à manquer de compréhension sur l’utilité de l’impôt sur le revenu. Mais il convient de préciser qu’en payant vos impôts, vous vous rendez utiles pour votre pays. Une manière de le faire sans difficulté ou d’avoir un conseiller de poids est de solliciter l’expertise d’un avocat. L’impôt sur le revenu permet tout simplement de financer le budget de l’État. Il s’agit de la deuxième source d’argent pour la caisse nationale après la TVA. D’après les estimations, 50 % des ménages sont concernés par ce type d’impôt.

Qui est appelé à déclarer ses revenus ?

À moins que vous ne bénéficiiez d’une exonération d’impôts, vous devez déclarer vos revenus si votre domicile fiscal est sur le territoire français ou belge si vous habitez en Belgique. L’exonération en question s’adresse aux personnes dont le revenu annuel ne dépasse pas la première tranche d’imposition.

Que faut-il déclarer ?

Comme l’expression l’indique déjà, l’impôt s’applique au revenu. Il frappe donc vos revenus tels que les salaires, les revenus spéciaux ainsi que les revenus fonciers. Il faut préciser qu’on ne parle pas de revenu, mais des revenus à évaluer suivant des règles dans leurs catégories respectives. Ces catégories sont :

  • Les salaires, les traitements ;
  • Les bénéfices commerciaux et industriels ;
  • Les profits agricoles ;
  • Les revenus mobiliers ;
  • Les revenus relatifs au foncier ;
  • Les plus-values immobilières (les placements et les plus-values de cessions mobilières sont soumis à la flat-tax) ;
  • Les revenus des dirigeants de certaines sociétés ;
  • Les rentes et pensions de toute nature.